Dans cette quatrième enquête de l’inspecteur Ari Thór, la petite ville de Siglufjördur, perdue au bout du monde, est mise en quarantaine. La cause ? Une épidémie de fièvre («sótt» en islandais). Un nouveau huis-clos étouffant dans lequel Ari Thór va devoir élucider un cold case vieux de cinquante ans...
« Quiconque envisagerait de s’exiler devrait sérieusement s’intéresser à Siglufjördur, le village le plus isolé du nord de l’Islande. »
The New York Times
Mais que se passe-t-il encore à Siglufjördur ? L’inspecteur Ari Thór n’est pas venu à bout des secrets de ce village en apparence si tranquille. Lui qui avait fini par se faire à la rudesse du climat et aux hivers trop longs se sent de nouveau pris à la gorge par un terrible sentiment de claustrophobie. La ville est mise sous quarantaine car on suspecte une épidémie de fièvre hémorragique (sótt, en islandais). Les premières victimes succombent tandis qu’un crime vieux de cinquante ans remonte à la surface… Le huis clos se referme sur les habitants de Siglufjördur.
C’est l’agent d’Henning Mankell qui a découvert Ragnar Jónasson et vendu les droits de ses livres dans vingt pays. Né à Reykjavik, Jónasson a traduit plusieurs des romans d’Agatha Christie en islandais, avant d’écrire ses propres enquêtes. La série des « enquêtes de Siglufjördur », village dont sa famille est originaire, connaît un succès retentissant en France et à l’étranger.