Dans cette troisième enquête de l’inspecteur Ari Thór, le corps d’un homme est retrouvé au bord d’un fjord. C’est l’été à Siglufjördur. Le soleil illumine les nuits polaires. Mais l’éruption du volcan Eyjafjallajökull va plonger l’île dans un nuage de cendres et une atmosphère angoissante. Un exceptionnel roman d’atmosphère qui confirme le talent de la nouvelle star du polar islandais.
En Islande, les fjords et les volcans dissimulent des secrets macabres. Une seule règle : ne pas se fier aux apparences.
C’est l’été à Siglufjördur. Le climat de ce village du nord de l’Islande est si rude que le jeune policier Ari Thór voit arriver avec soulagement cette saison où le soleil brille à toute heure du jour et de la nuit. Mais le répit est de courte durée. Un homme battu à mort est découvert sur les bords d’un fjord tranquille. Une jeune journaliste vient fouiner d’un peu trop près. Que cherche-t-elle à découvrir ? Ou à étouffer ?
Surtout, l’éruption spectaculaire de l’Eyjafjallajökull recouvre peu à peu toute l’Islande d’un épais nuage de cendres. Cette étrange « nuit » – nátt, en islandais – fait remonter les secrets les plus enfouis. Personne ne sera épargné. Pas même Ari Thór, qui doit pourtant boucler son enquête au plus vite, s’il veut éviter de nouveaux crimes.
C’est l’agent d’Henning Mankell qui a découvert Ragnar Jónasson et vendu les droits de ses livres dans dix-huit pays. Né à Reykjavik, Jónasson a traduit plusieurs des romans d’Agatha Christie en islandais, avant d’écrire ses propres enquêtes. Sa famille est originaire de Siglufjördur.