Après le succès de L’Embaumeur, Isabelle Duquesnoy nous livre le portrait d’une mère aussi cruelle qu’abominable, écrit dans une langue époustouflante, entre préciosités du XVIIIe siècle et démesure rabelaisienne.
Maudite année 1798 pour la Pâqueline ! D’abord le procès de son fils Victor, qui lui vaut une réputation ignominieuse. Et maintenant l’incendie de sa maison ! Réfugiée chez son rejeton, qui a fait fortune de son métier d’embaumeur et de trafics d’organes, exaspérée, elle accouche d’une idée diabolique : elle va lui jeter au visage les secrets dramatiques de son enfance, en couvrant les murs de ses écritures. Et ira jusqu’à le dépouiller de ses richesses...
Mais quelle est cette femme, qui suscite le dégoût autant que l’éclat de rire et l’émotion ? Et quel est donc ce roman extraordinaire, qui marie finesse et outrance, méchanceté et tendresse, érudition et imagination – jusqu’à l’apothéose finale ? Un chef-d’œuvre étonnant et drôle, qui porte la patte d’un très grand écrivain, assurément.
Après le succès de L’Embaumeur, prix Saint-Maur en poche et prix de la ville de Bayeux, Isabelle Duquesnoy nous livre le portrait d’une mère abominable, qu’on se surprendra étrangement à aimer, écrit dans une langue époustouflante, entre préciosité du XVIIIe siècle et démesure rabelaisienne. Un écrivain inclassable et majeur de ce début du XXIe siècle.
ILS EN PARLENT :
« Isabelle Duquesnoy est une surdouée, une raconteuse d’histoires incroyable : une magicienne ! »
Gérard Collard, La Griffe noire
« J’ai découvert l’univers pétillant et unique d’Isabelle Duquesnoy avec L’Embaumeur. Mon attente était folle pour La Pâqueline. Et bien plus que la combler, ce roman l’a transcendée ! »
Caroline Vallat, Fnac Rosny
« Un bijou comme il y en a peu. On a envie de le lire et le relire pour en tirer toute la substantifique moelle. »
Lydie Zannini, Librairie du Théâtre
Gérard Collard, La Griffe noire