Un roman saisissant porté par une héroïne puissamment moderne et tragique. Une histoire d’amour toxique qui interroge la notion d’emprise et d’appartenance dans un couple. Dans son second roman, Sarah Koskievic – productrice éditoriale du podcast « Transfert » (Slate), 3e podcast le plus téléchargé en France –, livre une écriture mordante et sans concession teintée d’une modernité punk qui rappelle Virginie Despentes. Un texte qui saisit au col.
« J’ai lu Hazel avec admiration. Très audacieux ! » Amélie Nothomb
Hazel est éblouissante.
Hazel est brisée.
Hazel enchaîne les relations d’un soir.
Dans ses veines coulent le vitriol et la fureur.
Et puis.
Et puis, elle rencontre Ian.
Elle, princesse du cynisme, décide de croire en cet amour qu’elle n’a vu que sur les comptes Instagram de ses copines, triptyque coup de foudre/mariage/compte-joint.
Au rythme du Paris nocturne et des fumoirs de boîtes de nuit, ces deux trentenaires se télescopent dans une histoire d’amour toxique. Jusqu’à sa fin, inattendue.
« Un coup de foudre entre eux ? Non, c’était une collision. »
Une héroïne d’exception, comme sortie d’un épisode de Vernon Subutex. Avec une écriture entre élégance et tranchant d’une lame de rasoir, ce roman interroge les contradictions d’une époque et bat en brèche les recommandations de « bonne conduite » féministe.
Sarah Koskievic est journaliste. Après plusieurs années passées à New-York, à Miami, à Tel-Aviv, elle est aujourd’hui la directrice de production éditoriale de « Transfert » (Slate.fr), l’un des podcasts les plus écoutés en France. Après La Meute (Plon, 2019), Hazel est son deuxième roman.